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A quoi jouent les dirigeants PS de la France ?

"CANEMPECHEPASNICOLAS" :

 

Les dirigeants PS de la France

sont devenus les boute-feux du camp atlantique.

Pourquoi ?

 

Face aux Etats-Unis, qui envisagent par réalisme, d'associer le gouvernement légal de Syrie à d'éventuelles négociations globales au Moyen-Orient, le pouvoir PS en France, par la voix de Manuel Valls et de Laurent Fabius, hurlent à mort contre toute tentative de paix.

Déjà, les dirigeants de notre pays étaient prêts, l'autre été,  à bombarder Damas et d'engager la France dans la guerre si les USA avaient donné leur feu vert.

La politique va-t-en-guerre du président de la République ne répond pas aux intérêts de la France. Cette orientation belliciste  présente en permanence le danger d'entrainer notre pays dans un conflit mondial qui lui serait fatal.

Mais quelles sont les raisons de cette obstination dangereuse à jouer avec le feu ?

Quant aux médias, ils ont Résultat de recherche d'images pour "Images de la france colonialiste"

 

francetvinfo.fr

Syrie : Valls regrette les propos de Kerry sur des négociations avec Al-Assad

Le président syrien, Bachar Al-Assad, répond, le 16 mars 2015, aux questions d'un journaliste iranien après une rencontre avec le ministère de l'Economie et des Finances iranien, à Damas (Syrie). Le président syrien, Bachar Al-Assad, répond, le 16 mars 2015, aux questions d'un journaliste iranien après une rencontre avec le ministère de l'Economie et des Finances iranien, à Damas (Syrie). ( SANA / AFP)

 

1Kerry : "Il faudra négocier" avec Al-Assad

"Au final, il faudra négocier" avec Bachar Al-Assad, affirme le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, dimanche. Un porte-parole du Département d'Etat précise toutefois qu'il n'y a aucune modification de la position américaine, et qu'il "n'y a pas d'avenir pour un dictateur brutal comme Assad en Syrie".

Mais cette déclaration représente toutefois un tournant, comme le résume Valérie Astruc, de France 2 . Washington a changé d'ennemi en Syrie. La priorité est d'en finir avec le groupe État islamique. 

2Al-Assad : "Nous attendons les actes"

Dès le lendemain, Bachar Al-Assad saisit la balle au bond. "Nous écoutons toujours les déclarations, nous devons attendre les actes et à ce moment-là, on décidera", affirme le président syrien, selon des propos cités par l'agence officielle Sana. La presse officielle, de son côté, estime que les propos de John Kerry sont une "reconnaissance de la légitimité" de Bachar Al-Assad.

3Manuel Valls regrette la position de Kerry

Invité du Grand Journal de Canal+, Manuel Valls réagit aux propos de John Kerry. Interrogé sur le fait de savoir s'il regrette cette position, le Premier ministre répond :"Oui, bien sûr". Avant d'ajouter qu'il "n'y aura pas de solution tant qu'il y aura Bachar Al-Assad à la tête de la Syrie".

Un peu plus tôt dans la journée, le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, avait déjà déclaré que "remettre en selle" Bachar Al-Assad" serait un "cadeau scandaleux" aux terroristes de l'Etat islamique. Le Quai d'Orsay privilégie toujours un "règlement politique négocié entre les différentes parties syriennes", sans l'actuel dirigeant.

Tag(s) : #Politique française
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