Le procès se poursuit...
La direction du PRCF aurait préféré l’huis-clos à la publicité des débats, me reprochant le fait d’avoir publié le texte de la lettre qu’elle m’avait adressée.
Pourtant, il s’agit d’une affaire politique, et pas de droit commun. Elle intéresse quant aux « attendus », l’ensemble des militants et des lecteurs de « canempechepasnicolas ».
Donc, le 4 février, la « Commission d’arbitrage », saisie de l’affaire, a adressé la lettre suivante au « prévenu » (avec accusé de réception, ainsi celui-ci se sentira moins seul sur le ban d’infamie).
Mais, pour revenir aux choses sérieuses, tenu de m’expliquer, je répète que je me refuse à la polémique.
Cependant, je fais part de mon étonnement face à l’« acharnement judiciaire » dont je suis l’objet.
En effet, simple adhérent au PRCF, sans aucune responsabilité au sein de l’organisation, je me pose la question :
« Pourquoi tant d’honneur et tant d’indignité » pour un simple militant et citoyen qui tient seulement à garder sa liberté de penser ?
La rigueur de la Loi dont je suis menacé a-elle pour origine le fait de mes responsabilités au sein du Comité Valmy ? De mon adhésion à l’ANC (qui, elle, ne pratique pas l’apartheid) ?
Ou de quelque autre raison ?
La question est posée.
Morale de l'histoire :
Quand on veut jouer au gendarme, on risque d''être bastonné par Guignol...
Jean LEVY
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L'ARTICLE DU 6 JANVIER 2016: