Donc on peut s’en aller. C’est la leçon essentielle qui découle du référendum britannique. En dépit de l’incroyable brouhaha politico-médiatique et de l’extraordinaire confusion que les mauvais perdants ont tenté de semer.
Car on aura tout entendu, du plus classiquement éculé au plus audacieusement grotesque : les Britanniques ont voté par « inadvertance », dans un « moment d’égarement » ; ils voulaient juste donner un avertissement au Premier ministre ; ils regrettent déjà leur vote ; du reste, un référendum devrait n’être valable qu’avec 60% de votes positifs [...]
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