La crise se mesure aussi dans notre difficulté, voire même notre incapacité à communiquer tant la réflexion collective nous fait défaut. Il nous faut faire face, en externe, à une pression idéologique intense, voire même violente, et en interne à une perte de repères, au découragement et à la crainte de voire disparaitre, ce qui a fait, bien souvent l'engagement de toute une vie, le PCF.
Cette situation perturbe profondément les échanges et les nécessaires débats. Ainsi une note de la commission économique émanent de Y. Dimicoli, m'a fortement perburbé et même découragé. Une commission économique que certains appellent, la centrifugeuse, tant elle éjecte ceux qui ne participe pas du Boccarisme. On ne connaitra pas ainsi l'opinion, que peuvent avoir d'autres économistes tout aussi communistes.
Ce monoplole de la pensée est tout simplement intolérable. De plus j'attends, pour ma part, d'un intellectuel, surtout communiste, qu'il préserve son statut d'intellectuel. Son rôle n'est pas d'illustrer la ligne en cours, éventuellement dans ses méandres les plus tortureux. Sa mission, c'est d'interroger le réel sans se soucier des impératifs politique ou pire politiciens. C'est là, le boulot du politique, c'est-à-dire de nous tous.
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