Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les partisans de Bachar el-Assad célèbrent la libération d'Alep

Les partisans de Bachar el-Assad célèbrent la libération d'Alep

RT

Le conflit est trop grand en Syrie pour qu'elle reste unifiée, et la désagrégation du pays est inévitable – les Etats-Unis et l'OTAN la proclament de leurs vœux. Sharmine Narwani, experte du Moyen-Orient,

démonte cette argumentation point par point.

En février, quand Alep-Est contenait encore plein de combattants formés en Occident, alliés à Al-Qaïda, la question a été posée au président syrien Bashar el-Assad : «Pensez-vous pouvoir reprendre le contrôle sur tout le territoire syrien ?» 

Il avait alors répondu positivement : «C’est un objectif que nous cherchons à atteindre sans aucune hésitation. Il n'y a pas de sens pour nous de dire que nous allons en abandonner une partie [du territoire syrien].»

Mais ce n'est pas le cas des hommes politiques occidentaux.

D'abord, c'est le secrétaire d’Etat américain John Kerry qui a informé de façon évasive la Commission des relations étrangères du Sénat que l’administration de Barack Obama pouvait avoir un plan B pour la Syrie : «Il se peut qu'il soit bientôt trop tard pour préserver l’intégrité de la Syrie, si nous attendons plus longtemps.»

Les néo-conservateurs frénétiques et les interventionnistes libéraux insistent sur l'idée de «partition» – faisant peu de cas de cinq années de pronostics erronés

Ensuite, James Stavridis, ancien commandant suprême de l’OTAN...

POUR LIRE LA SUITE
CLIQUEZ CI-DESSOUS

https://francais.rt.com/opinions/31587-il-aura-pas-partition-syrie

 

Tag(s) : #Syrie
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :