Bayrou a vendu son âme à Macron pour un plat de lentilles

Olivier Demeulenaere –

Regards sur l'économie

Publié le 22 février 2017par Olivier Demeulenaere

Honte et dégoût. C’est ce que doivent ressentir les (rares) Français qui plaçaient encore leur confiance et quelques espoirs dans ce ventre mou de la politique. François Bayrou (encore un François) a annoncé aujourd’hui qu’il proposait une alliance au chouchou de la finance mondialiste, l’hologramme des Rothschild, dont il disait pourtant pis que pendre il y a peu de temps.

Exemples :

L’héritier masqué de François Hollande, en baisse dans les sondages, s’est empressé d’accepter cette « offre d’alliance », expliquant sans rire que c’était un « tournant de la campagne et de la vie politique » (ce qui tourne en l’occurrence, c’est surtout la girouette)… On ne refuse pas les avances d’un personnage aussi considérable, ce sauveur de la France autoproclamé qui avait appelé à voter Ségolène Royal en 2007 et François Hollande en 2012 ! Surtout quand ça ne coûte que la vague promesse d’une « loi de moralisation de la vie politique » et sans doute aussi un poste de ministre plus quelques arrangements aux législatives…

Un plat de lentilles contre la perspective offerte à la ploutocratie bancaire de continuer à diriger la France. OD