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Emmanuel Macron et Alexandre Benalla au dernier salon de l'agriculture.	©

Emmanuel Macron et Alexandre Benalla au dernier salon de l'agriculture. ©

"canempechepasnicolas" :

La "barbouzerie"  du chef de l'Etat n'est que "le supplément d'âme",  damnée,  d'un système mis en place par le capitalisme financier pour faire main basse sur l'ensemble des secteurs juteux, encore publics, afin d'accroître au maximum ses profits. Ce vol organisé du domaine collectif suppose l'emploi à l'échelon inférieur de personnages eux-mêmes peu recommandables, auteurs de mauvais coups, à l'image de leurs employeurs.

Les Français découvrent ainsi le caractère d'un régime, qui n'a plus rien de commun avec la nature parlementaire d'une République qui n'en a plus que le nom, C'est une bande mise en place pour piller le bien national et le personnel qu'il emploie et ses méthodes sont à l'unisson de l'objectif.

Alexandre Benalla n'est que le sbire attaché à la personne du chef.

Le scandale d'Etat qui secoue ainsi l'opinion publique n'est pas un fait divers, une bavure de plus du pouvoir : c'est l'illustration d'un régime, celui des hommes de l'oligarchie financière, la phase ultime du capitalisme, qui a pris la France en otage pour la dépouiller de ses biens.

Au-dela de Macron et de ses hommes, c'est cette puissance d'argent qu'il faut éliminer.

JEAN LEVY

REVENONS SUR LES FAITS

RT en français

Benalla : la version de l'Elysée démentie par des photos, Collomb auditionné à l'Assemblée lundi

Une enquête préliminaire a été ouverte ce 19 juillet par le parquet de Paris dans le cadre de l'affaire Benalla, ce collaborateur d'Emmanuel Macron repéré dans une vidéo où il prend part à des violences le 1er mai. L'IGPN va être saisie.

 
Benalla : la version de l'Elysée démentie par des photos, Collomb auditionné à l'Assemblée lundi
© JEAN-FRANCOIS MONIER Source: AFP
Au centre, Alexandre Benalla
Une enquête préliminaire a été ouverte ce 19 juillet par le parquet de Paris dans le cadre de l'affaire Benalla, ce collaborateur d'Emmanuel Macron repéré dans une vidéo où il prend part à des violences le 1er mai. L'IGPN va être saisie.
  • Ces trois hommes ont été placés en garde à vue pour «détournement d'images issues d'un systè

    Par ailleurs, les trois policiers suspendus pour avoir transmis des images de vidéo-surveillance à Alexandre Benalla, le collaborateur d'Emmanuel Macron filmé en train de frapper un manifestant le 1er mai, ont été placés en garde à vue ce 21 juillet au matin, a annoncé le parquet de Paris.

    L'audition, publique et retransmise, de Gérard Collomb «aura lieu lundi matin» à 10h, a dit Yaël Braun-Pivet lors de la réunion de la commission chargée de mettre au point un programme d'auditions. Le groupe majoritaire LREM, par la voix de Marie Guevenoux, a en outre accepté la publicité des autres auditions à venir, avec des exceptions en particulier sur les questions de «sûreté de l’État».

    Le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb sera auditionné le 23 juillet à 10h dans le cadre de l'affaire Benalla par la commission des Lois de l'Assemblée nationale dotée des pouvoirs d'enquête, a annoncé ce 21 juillet sa présidente Yaël Braun-Pivet (LREM).

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    Selon une information parue dans Le Point, Alexandre Benalla devait diriger la sécurité présidentielle à Brégançon cet été

     

    Samedi 21 juillet

    Les gardes à vue d'Alexandre Benalla et Vincent Crase sont prolongées, selon une information du parque

     

    10h17 CET

  • Dans le cadre de sa garde à vue, une perquisition a lieu le 20 juillet au soir, au domicile d'Alexandre Benalla, dans les Hauts-de-Seine, en sa présence.

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  • Suspendu pendant deux semaines après avoir frappé un manifestant le 1er mai, Alexandre Benalla avait été officiellement «démis de ses fonctions en matière d'organisation de la sécurité des déplacements du président», selon le porte-parole de la présidence la République.

    L'Elysée affirmait que son rôle était depuis de faire «l’interface entre les différents services chargés de la sécurité du président et le cabinet». Et d'insister que «cette réduction de périmètre [avait] été strictement observée» à l'exception de deux événements : la panthéonisation de Simone Veil et la réception des Bleus.

    Pourtant des photos publiées par Paris-Normandie et Libération viennent contredire cette version. Contrairement à ce qu'affirmait l'entourage du président, on y voit Alexandre Benalla aux côtés du couple présidentiel lors d'une visite privée à Giverny le 13 juillet et juste devant le président lors du défilé militaire organisé à l'occasion du 14 juillet

     

  • Vendredi 20 juillet
     
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  • Le bureau de la commission des Lois, dotée de pouvoirs d'enquête pour l'affaire Benalla, a échoué à se mettre d'accord dans la soirée du 20 juillet sur un programme d'auditions, ont annoncé ses membres à la sortie d'une réunion houleuse.

    En conséquence, la présidente de la commission des Lois Yaël Braun-Pivet (LREM) a décidé de convoquer la commission dans son ensemble le 21 juillet à 9h30 pour essayer de trouver un nouvel accord.

    La majorité a proposé que Gérard Collomb soit entendu le 23 juillet, le matin, après un week-end consacré comme prévu au débat sur le projet de loi constitutionnel, alors que les oppositions ont exigé que le ministre de l'Intérieur soit entendu dès le 21 juillet matin. 

    Elle a également souhaité que seule l'audition du ministre soit publique alors que les oppositions ont réclamé que toutes les auditions le soient (fonctionnaires de police, etc.).

    Le même commission des Lois avait pourtant voté à l'unanimité la veille le fait de se doter de pouvoirs de commission d'enquête.

    Mais la réunion du bureau, où étaient associés tous les groupes et qui a donné lieu à des éclats de voix entendus de l'extérieur, «n'a pas permis de se mettre d'accord sur le fonctionnement de notre commission», a déploré Yaël Braun-Pivet.

    Elle a défendu, sauf pour le ministre, le principe «d'auditions à huis clos pour obtenir la manifestation de la vérité, ce qui est notre souhait». Actant le désaccord, elle a constaté «un manque de confiance» entre les membres du bureau qui «ne permet pas à la commission de travailler dans la sérénité».

    Le co-rapporteur de la commission, le LR Guillaume Larrivé a jugé que «ce n'était pas possible» d'attendre jusqu'au 23 juillet pour l'audition de Gérard Collomb, parlant de «dizaines d'heures de travail devant nous». «Ces auditions doivent avoir un caractère public», a insisté Guillaume Larrivé

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Tag(s) : #Macron, #Politique française
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