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KÉPI DE GÉNÉRAL DE CORPS DE DIVISION, modèle 1931.

« Ça me fait mal de voir la France dans cet état », l’ancien général Pierre de Villiers prêt à agir. Et le commentaire de Jean LEVY

La question qu’on lui pose le plus souvent ? Pierre de Villiers l’admet sans malice : Quand annoncerez-vous votre engagement en politique ? Et l’ancien chef d’état-major des armées de préciser : Je suis honoré de la confiance que l’on m’accorde. Mais je traite déjà de politique mais de politique avec un grand P. Je veux contribuer à inspirer des idées ; je veux participer à la transformation sociale et aider à gérer les crises. Mon livre qui vient de sortir, L’équilibre est un courage. Réparer la France, n’est pas une plate-forme politique.

Pierre de Villiers ne révèle rien qui puisse accréditer une tentation présidentielle. Il se déclare dans l’introduction loin de toute velléité politicienne.

Mais parce que l’inaction est infamante, le général vendéen a décidé d’agir. En écrivant.

Ça n'empêche pas Nicolas                          Ça n'empêche pas Nicolas                         
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
A en croire le général, Pierre de Villiers n'a d'ambition que littéraire. S"il se répand dans les médias, jour après jour, c'est simplement pour vendre son livre et doper ses ventes...
A qui voudrait-il faire croire de telles sornettes ?
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
En vérité, le général se  place en recours. Il sait que la France se délite du fait du pouvoir actuel et que les Français perdent patience face à sa  gestion de la pandamie et au désordre social et économique qui l'accompagne. Dans ces conditions, le militaire galonné, en froid avec le Président, connaît son histoire de France. Et le goût prononcé de notre peuple pour l'appel au sauveur, au soldat pour sortir le pays du chaos.
 
Mais le temps n'est plus celui du général Boulanger, ni du Prince Président. Et Pierre de Villiers n'est pas le général de Gaulle : il n'a pas, comme le chef de la France libre, choisit la patrie et la République contre l'élite de son temps qui collaborait avec l'ennemi pour des intérêts de classe.
Encore aujourd'hui la soit-disante élite fait chambre commune avec la caste financière qui nous impose, avec Macron à l'Elysée - après Sarkozy et Hollande - la prison européenne sous mandat allemand.
Or, c'est de la perte de sa souverainté que la France est malade.
 
Ce qui ne semble pas chagriner l'ancien chef de nos armées..
 
Ce dont la nation a besoin, c'est de se rassembler  pour se libérer  des chaines du Capital qui a pris notre pays en otage.
Pas d'un militaire remplaçant un banquier...
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
                                                                                                               
 Jean LEVY
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Tag(s) : #Politique française
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