par Maxime VIVAS
Des chercheurs, avocats, journalistes, un conseiller de la Maison Blanche, un conseiller du secrétaire de l’ONU, un intellectuel nobellisable, commencent à valider ce que j’ai écrit en décembre 2020 sur le Xinjiang.
Mais, en France, journalistes, politologues, politiciens font bloc autour de ce que les Etats-Unis disaient et commencent à ne plus dire, voire contredisent.
Le Grand Soir l'a démontré ici : Donc, citoyen français, il me faut encaisser, pour le moment (« por ahora » avait dit Chavez, pour garder espoir). Encaisser, en attendant de faire un livre (peut-être) sur ce qu'ils ont dit, ce qu'ils disent, ce qu'ils diront demain en priant pour qu'on ait oublié ce qu'ils disaient avant. On a les docs. Remarquons que mes agresseurs subventionnés (Le Monde, Libé, France Inter, RFI, le Canard enchaîné, l'Obs, TMC-TF1, Arrêt sur Images...), incapables de trouver dans mon livre une seule chose inexacte, se bornent aux attaques ad hominem.
A la parution du livre, j'avais dit qu'il en serait ainsi. Si j'en écris un autre sur le sujet, ils se mettront d'accord pour marteler que ma mère a vendu du beurre aux boches.
Mais dès à présent, l'article taille des croupières à l'éditrice de mon livre « Ouïghours, pour en finir avec les fake news ». Le Monde veut que vous sachiez tout d'elle, de sa maison d'éditions, des journaux chinois avec qui elle a des contacts. Maintenant, (...) Lire la suite »