La situation stratégique de l'Irak, au carrefour de l'Asie, de l'Afrique et de l'Europe a conduit l'impérialisme US détruire cet état et le Proche-orient avec lui...
RT france
En 2003, l'invasion de l'Irak par les Etats-Unis a débouché sur une période d'instabilité marquée par l'émergence du terrorisme. 15 ans après la mort de Sadam Hussein, Adel Bakawan, directeur du CFRI, fait le point sur RT France.
Après trois ans de captivité, et huit mois de chasse à l'homme, le 30 décembre 2006, Saddam Hussein était exécuté par pendaison. Le président irakien, chef du parti Baas, a été renversé en 2003 par l'armée américaine sous George W. Bush.
Un événement qui a débouché sur une période d'instabilité marquée par l'émergence du terrorisme non seulement dans le pays, mais également dans d'autres Etats du Moyen-Orient. 15 ans plus tard, la démocratie peine à s’installer de manière pérenne dans le pays, comme l'explique sur RT France Adel Bakawan, directeur du CFRI.
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Un demi-million d’Irakiens
périssaient
sous le poids des sanctions
Par l’intermédiaire de la CIA, Washington créait également le média de propagande Radio Free Iraq pour promouvoir ses valeurs dites démocratiques. Malgré le plan international, proposant de la nourriture contre du pétrole, l’imposition des sanctions s’était avérée une catastrophe humanitaire pour l’Irak. Dans la décennie 90, plus de 500.000 Irakiens mouraient. Ce qui n’a pas empêché Madeleine Albright, alors représentante des États-Unis à l'Onu, d'affirmer, lors d'un entretien télévisé, que le jeu en valait la chandelle.