Cercle Bolivarien de Paris
Pour plusieurs dirigeants latino-américains de premier plan, la 68e session de l’Assemblée générale des Nations unies (24 septembre-1er octobre 2013) a constitué l’occasion de remettre en cause les politiques hégémoniques des Etats-Unis.
Et ce, dans plusieurs domaines : dénonciation de l’espionnage de masse et des gouvernements, même « amis » (Dilma Rousseff, Brésil), du caractère prétendument « exceptionnel » de la nation nord-américaine (Elias Jaua, Venezuela) et des pratiques des multinationales états-uniennes en Amérique latine (Ricardo Patino, Equateur, au sujet de Chevron) ; remise en cause de la légitimité des Etats-Unis à héberger le siège des Nations unies ( Evo Morales, Bolivie) ; critique des politiques bellicistes de Washington et des menaces contre la Syrie (Cristina Kirchner, Argentine).
Mémoire des luttes propose l’intégralité des interventions des représentants de ces pays en vidéo ou avec la retranscription (en espagnol) du discours d’Elias Jaua. http://www.medelu.org/Des-dirigeants-latino-americains
1° octobre 2013