Rami Abdel Rahman, alias Ossama Suleiman, alias OSDH, photo postée sur Facebook en février 2013, capture d'écran Facebook
RT
C'est l'une des principales sources des médias occidentaux. Mais dans la frénésie qui suit la reconquête l'Alep, on semble oublier que l'OSDH, ce n'est qu'un seul homme, au Royaume-Uni et quatre correspondants non-identifiés sur le terrain en Syrie.
L'homme est craintif. En octobre 2015, RT avait tenté sans succès de rencontrer le fondateur de l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). «Ils veulent me tuer», avait avancé Rami Abdel Rahman, également orthographié Rami Abdulrahman, pour justifier son lapin, évoquant les dangers d'une rencontre en plein jour.
Le journaliste Nimrod Kamer avait dû renoncer à visiter les locaux de l'observatoire au nom prestigieux : un modeste pavillon en brique dans la banlieue morne et post-industrielle de Coventry, près de Birmingham, au Royaume-Uni.
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