Par Guilherme Ringuenet
Alexandre Moumbaris défend la mémoire de Joseph Staline et nie les crimes imputés à l’homme d’acier. On a parlé avec lui du « petit père des peuples » mais aussi de son engagement contre l’apartheid en Afrique du Sud.
Sous ses airs bonhommes de grand-père porteur de bretelles, Alexandre Moumbaris dissimule un vrai révolutionnaire, du genre à faire passer Nuit debout ou les spasmes contestataires des lycéens pour de l'eau tiède, bonne à préparer le thé. Dans sa bouche résonnent des mots que l'on pensait perdus dans les limbes de l'histoire, et estampillés « massacres de la dictature prolétarienne ». C'est un peu par hasard que j'ai rencontré celui qui, pour une bonne partie de l'opinion publique, défend l'indéfendable […]
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