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Macron de Rothschild vient donc de définir sa conception du "social" :

"On met trop de pognon" !

Ainsi le président-banquier,  avec le vocabulaire qu'il a appris à l'école privée, voulant s'exprimer comme croit-il le peuple parle, crache tout cru son mépris de la "valetaille" à l'égal des petits marquis disaient à propos des "manants".

On se croirait peu de temps avant la prise de la Bastille...Les nobles et la Cour et le Roi se croyaient à Versailles pour l'éternité.

Le propos présidentiel a fait mouche, et chacun de s'effaroucher, comme surpris d'un langage jugé "maladroit" et trop peu politique,  alors que se manifeste un vent de fronde à l'égard du pouvoir. Pourtant monsieur Macron de Rothschild n'en est pas à sa première sortie oratoire : on cite "les gens qui ne sont rien", qui résume bien à lui seul son mépris aristocratique parmi un florilège du même acabit.

Mais ce langage interroge les médiacrates toujours à son service : ceux-ci  semblent s'inquiéter de ces propos jugés "maladroits", de nature à renforcer le courant du "populisme", comme on dit dans ces milieux peu habitués à croiser le peuple, et qui ne sont connectés avec le monde qu'à travers leurs smartphones.

Quant à ce peuple tant ignoré, il semble découvre la nature du pouvoir qu'il a fait émerger en mai de l'autre année. Les échos assourdis du malaise qui grandit se font entendre à l'occasion des plongées que les radios sont contraintes d'opérer auprès des auditeurs. Ainsi, sur France Inter, ce mercredi soir, la colère se fait jour, comme si ceux-ci avaient été trahis : l'un d'eux déclare tout de go, qu'ayant voté Macron de peur de Marine Le Pen, le bilan du président est tel que la prochaine fois, cet auditeur votera Front national ...

Et combien nombreux sont les électeurs ainsi dupés  qui jurent maintenant qu'on ne les reprendra plus. On les comprend : des millions de Français ont été ainsi dupés par le jeu brillamment agencé par les stratèges  du CAC 40, montrant du doigt le leurre Le Pen agencé en cible pour mieux cacher l'objectif réel de la candidature Macron. Nous ne reviendrons pas sur le scénario ainsi écrit par l'oligarchie pour qui l'élection de l'homme de Rothschild n'était assurée qu'opposée à la candidature de Marine Le Pen.

Mais nous n'insisterons jamais assez sur la très lourde responsabilité prise par des dirigeants du PCF et de la CGT, qui se sont conduits comme des supporters de Macron en faisant voter pour lui pour éviter le "fascisme", comme si pour la France et les Français, le pire n'était pas le candidat de l'oligarchie !...

C'est ainsi que Monsieur Macron de Rothschild  a été élu par défaut.

Aujourd'hui, nombreux sont ceux qui ont ouvert les yeux : la politique du Président agissant comme révélateur. Mais comment sortir du piège où ils sont tombés ?

Faut-il être esclave du calendrier électoral et attendre les poings fermés, l'échéance présidentielle de 2022 ? Mais au train où vont les choses, que restera-t-il à défendre dans quatre ans ? Où en sera la France, sera-t-elle encore la France, telle qu'on la connue du temps des "Trente glorieuses" ? 

Car l'avenir de notre pays, l'indépendance de son Etat, la souveraineté de son peuple ne dépendent plus de la couleur d'un gouvernement. L'expérience de ces dernières décennies montre que dits de "gauche" ou de droite, les présidents et les pouvoirs successifs ont tous fait le choix désastreux de l'intégration européenne, c'est-à-dire l'aliénation de l'indépendance et de la souveraineté de la France soumise aux lois étrangères édictées à Bruxelles, pour le compte de l'oligarchie financière.  

C'est de cette étau qu'il faut sortir.

Tout le reste n'est que billevesées. 

Tag(s) : #Politique française
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