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Pour la sixième fois depuis le début de l’année,

L’intersyndicale, composée de huit syndicats de travailleurs et de cinq organisations de jeunesse, appelle à une journée de 

Grève générale et nationale

Le mardi 7 mars 2023

contre la réforme des retraites, visant à  supprimer 2 années de repos et de libertés aux salariés

Pour faire échec à Macron et au gouvernement, l'Intersyndicale organise une forte mobilisation populaire afin de mettre « la France à l’arrêt ».

Elle indique aussi que des actions pourront avoir lieu le mercredi 8 mars, journée internationale de luttes pour les droits des femmes.

Vers une "France morte" le 7 mars

LES ARRÊTS DE TRAVAIL DÉJÀ PRÉVUS

 EN ATTENDANT LA SUITE...

Dans les transports

SNCF

Dans un communiqué, la CGT cheminots évoque : « mettre en débat sur chaque site, dans chaque chantier, dans chaque entreprise de la branche ferroviaire, la perspective d’une grève reconductible à compter du 7 mars 2023. »

RATP

L’intersyndicale de la RATP a appelé à une grève reconductible dès le 7 mars.

Dans les écoles

L’intersyndicale de l’éducation appelle les enseignants à la grève de manière massive afin de « fermer totalement les écoles, collèges, lycées et services »

Elle appelle également à se mobilier le 8 mars.

Dans les autres secteurs

Éboueurs

La CGT a invité les éboueurs et les salariés de « l’ensemble de la filière » des déchets à se mettre en grève reconductible dès le 7 mars.

"Les fédérations CGT des services publics et des Transports appellent (...) dans toutes les entreprises, établissements publics et collectivités à se réunir (...) pour préparer la grève dans les secteurs de la collecte des déchets et ordures ménagères, du tri et du traitement des déchets, à partir du 7 mars et jusqu’au retrait du projet de loi", indiquent-elles dans un communiqué conjoint.

 

JEAN LÉVY

Prochains rendez-vous

les 7 et 8 mars prochains

Au fil des semaines, les sondages démontrent une hausse de ce rejet massif puisque dorénavant, plus de 7 français sur 10 et 9 travailleurs et travailleuses sur 10 se disent opposés au projet de réforme.

Si malgré tout le gouvernement et les parlementaires restent sourds à la contestation populaire, les organisations syndicales appellent, dans le cadre interprofessionnel, à durcir le mouvement et à

mettre la France à l’arrêt

dans tous les secteurs

le 7 mars prochain,

y compris par des débrayages quotidiens ; ce qu’ont déjà décidé les secteurs professionnels, comme l’énergie, la branche pétrole, les cheminots ou bien les portuaires et dockers.

La CGT appelle l’ensemble des secteurs professionnels à décider des formes de reconduction de la grève dès le 7 mars.

Selon un récent sondage, 68 % des personnes interrogées estiment que le blocage de la France sera de la responsabilité du gouvernement.

Les inégalités entre les hommes et les femmes, qui persistent de manière alarmante, sont encore renforcées au moment de la retraite. L’intersyndicale se saisira du 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes pour mettre en évidence et dénoncer l’injustice sociale majeure de cette réforme des retraites envers les femmes.

 

Dès le 7 mars,

« la France à l’arrêt » !

La Confédération a réuni l’ensemble de ses fédérations afin de continuer la mobilisation contre la réforme des retraites et de préparer « la France à l’arrêt », dès le 7 mars.

Toutes ont répondu présentes.

Pour ce faire, les fédérations appellent leurs syndicats et leurs sections syndicales à organiser des Assemblées générales, pour informer les travailleuses et travailleurs du privé comme du public et à préparer

Le blocage de l’économie dès le 7 mars

par la grève et les actions décidées par les travailleurs.

 

« On appelle à mettre le pays à l’arrêt, ce qui est différent d’un blocage. Le 7 mars il faut une mobilisation qui monte d’un cran », a poursuivi le leader de la CFDT. « Je pense que le débat reviendra à l’Assemblée pour un vote final et je le dis aux parlementaires :

''Écoutez ce qui se passe dans vos circonscriptions'' », car les retraites ne sont « pas seulement un sujet politique ».

La CFDT est totalement opposée à ce que le départ à la retraite soit reporté de 2 ans. C’est une décision très injuste décidée par le Gouvernement.

Pour la CFDT Fonction Publique #64ansCestNon ! »

 

À l’appel de l’intersyndicale interprofessionnelle, la semaine du 6 mars sera un nouveau tournant dans cette mobilisation avec un message clair « la France à l’arrêt le 7 mars ! ».

C’est pourquoi nous invitons l’ensemble des collègues à déposer, dès à présent, des déclarations préalables d’intention de grève du 7 au 10 mars afin d’envoyer un message clair : Les enseignant-es du premier degré restent mobilisé-es !

LA GRÈVE RECONDUCTIBLE À PARTIR DU 7 MARS !

Après 4 journées de grèves et de manifestations interprofessionnelles, qui n’auront pas vue la mobilisation faiblir dans la rue, le gouvernement continue à mettre la tête dans le sable et ne cache plus sa volonté de passer en force cette déclaration d’affrontement social au monde du travail. L’opposition à cette contre-réforme est très largement majoritaire dans le pays car tout le monde est touché par les politiques anti-sociales de ce président.

Les 150 000 cheminot·es, dont les 37 000 poly-pensionné·es et les 28 000 contractuel-le-s. Il est en de même pour les milliers de salarié·es travaillant dans le secteur ferroviaire. Il est nécessaire de faire reculer ce gouvernement, dans le cas contraire, il y aura encore d’autres attaques contre le monde du travail du gouvernement Borne et du patronat. !

Retraites : la CFE-CGC

et l’intersyndicale maintiennent la pression

RENDEZ-VOUS LE 7 MARS  

Plus que jamais, la revendication de l’intersyndicale est simple, à savoir le retrait pur et simple d’un projet de loi prévoyant en particulier l’allongement de 62 à 64 ans de l'âge légal de départ à la retraite.

C’est dans cette optique que la prochaine journée nationale de mobilisation est désormais programmée le mardi 7 mars.

D’ici là, la CFE-CGC compte poursuivre son travail de fond pour convaincre les parlementaires. « L’unité syndicale peut durer encore très longtempsindique François Hommeril sur BFMElle a déjà tenu beaucoup plus longtemps que les arguments gouvernementaux en faveur de sa réforme ou que la fake news de la pension minimum à 1 200 euros. » 

ARTICLE PUBLIE
LE 24 FEVRIER

 

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