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Dans l'attente de la réouverture des marchés, lundi matin,
si la crise financière vous donne des sueurs froides...
lisez attentivement cette dépêche de
l'agence Reuters :


"Tentez votre chance à la Bourse de Bagdad,
en plein boom,

malgré les violences et les incertitudes politiques en
Irak.


Le mois dernier, l'indice a terminé en hausse de près de 40%.
 
Investisseurs et courtiers, l'oreille collée au téléphone, se pressent dans le bâtiment.
L'activité est fébrile mais ici tout se passe "à l'ancienne", loin des psychodrames des grandes places financières.
Pas d'ordinateurs, pas d'écrans - les cours sont inscrits à la main sur des tableaux qui recouvrent un mur de la salle. Les investisseurs lèvent la main pour signaler leurs achats. Parmi les 95 valeurs cotées, les hôtels et les banques sont les plus sollicitées.
"Les gens savent que les valeurs hôtelières sont sous-évaluées. Ils pensent que l'an prochain ce secteur va connaître un boom et ils ne veulent pas laisser passer l'occasion", déclare Saad Djalil, un habitué qui ajoute n'avoir jamais vu de séances aussi actives que ces derniers jours.
"La crise ne nous touche pas car nous sommes coupés du monde extérieur. Nous n'avons même pas de transactions électroniques", ajoute-t-il.
Les cours s'étaient effondrés pendant les années de guerre civile qui ont suivi l'invasion de 2003. Il était alors pratiquement impossible de se rendre à la Bourse, les bandes armées faisant régner la terreur dans les rues de la capitale.

Mais la situation s'est calmée depuis un an et la Bourse a profité de cette amélioration, surtout depuis quelques semaines, revigorée par les chantiers de reconstruction financés par les revenus du pétrole.
Pour le directeur de la Bourse bagdadie, Taha Abdoul Salam, la crise mondiale n'aura pas de répercussion en Irak.
"Les gens les plus exposés sont des investisseurs étrangers, qui ne représentent que trois pour cent de notre marché", explique-t-il.
Mais la situation actuelle n'est pas sans susciter quelques inquiétudes.
Le budget 2009 repose sur un prix du baril de pétrole supérieur à 80 dollars. Or, les cours sont tombés récemment sous les 90 dollars, contre 140 dollars en juillet.
"Toute l'économie irakienne est liée au secteur pétrolier. Le revenu national baisse avec la chute des cours, ce qui a des répercussions sur la reconstruction et les affaires, et donc à terme sur la Bourse", dit un boursier, Abou Haider.
Les investisseurs se plaignent aussi des taux d'intérêt élevés de la banque centrale irakienne - établis à au moins 16% depuis janvier 2007.

MAIS SI VOUS N'ÊTES PAS INTERESSE PAR LA SPECULATIOn, LE PROFIT A COURT TERME, 
LE MIEUX POUR VOUS, C'EST DE PASSER VOTRE DIMANCHE A LIRE, ET FAIRE LIRE A VOS PROCHES, A VOS AMIS :

http://canempechepasnicolas.over-blog.com 
VOUS SPECULEREZ SUR L'AVENIR ! 
 

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