TEXTE REPRIS
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El Diablo

Alain Minc, sarkozyste militant, est aujourd'hui "l'invité du dimanche" du quotidien "Le Parisien". Conseiller des grands capitalistes et des politiciens de tous poils, il se penche sur l'année 2010 non sans revenir sur les évènements de l'année en cours.
A la question des journalistes, Marc Lomazzi et Nathalie Schuck :
"Faut-il craindre une radicalisation des mouvements sociaux?",
il répond :
"Il aura des tensions avec les syndicats, c'est normal. Je constate qu'au printemps, leur sens de l'intérêt général a été impressionnant pour canaliser le mécontentement. L'automne a été d'un calme absolu. Je dis chapeau bas aux syndicats ! Ils ont cogéré cette crise avec l'Etat. Le patronat, en tant qu'acteur social, a été aux abonnés absents.
S'il y avait un dixième du talent de l'état-major de la CGT au MEDEF, les choses iraient déjà mieux..."