RT
Les candidats à l'Elysée ont dû clarifier leurs position, notamment concernant l'éventualité d'une intervention militaire en Syrie et le sort de Bachar el-Assad. La frappe sur la base d'Al-Chaayrate a véritablement rebattu les cartes de la campagne.
La Syrie s'est bel et bien invitée dans la campagne présidentielle après les frappes américaines, avec des réactions allant d'un soutien de Benoît Hamon et d'Emmanuel Macron, aux critiques de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon, en passant par la prudence de François Fillon.
Emmanuel Macron est le seul candidat à se prononcer clairement en faveur d'«une action coordonnée sur le plan international en représailles au régime de Bachar el-Assad». «Le peuple syrien a un ennemi : Bachar el-Assad», a-t-il martelé.
"canempechepasnicolas"
Pas les terroristes de Daech ?