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l y a 30 ans, le 19 août 1991, de hauts responsables soviétiques au sein du gouvernement et du Parti communiste annonçait la création du Comité d'État pour l'état d'urgence (GKTP) afin d'empêcher la chute de l'URSS et de lutter contre les gangsters criminels soutenus par les États-Unis, Mikhaïl Gorbatchev, et Boris Eltsine.
Article et traduction Nico Maury
Article et traduction Nico Maury
Un jour avant que Gorbatchev et un groupe de dirigeants corrompus ne signent un nouveau traité d'union, le Comité d'État pour l'état d'urgence est proclamé. L'objectif, stopper la liquidation de l'Union soviétique.
A sa tête, le Premier ministre Valentin Pavlov, le président du KGB Vladimir Krioutchkov, le ministre de la Défense Dmitri Iazov, le ministre des Affaires intérieures (MVD) Boris Pougo, Oleg Baklanov, membre du comité central du PCUS, Vasily Starodubtsev, président de l'union des paysans. Le vice-président de l'Union soviétique, Guennadi Ianaïev, est nommé président par intérim.
L'action du Comité d'État pour l'état d'urgence sera un échec et profitera au nationaliste corrompu Boris Eltsine, alors président de la fédération de Russie.
Les actions mal planifiées, incohérentes et indécises des membres du Parti communiste, du Komsomol, de l'Armée et du KGB, doublée par la passivité des citoyen.ne.s de l'URSS a entraîné une contre-révolution ouverte qui s'est terminée par l'interdiction de la PCUS et de la destruction de l'Union soviétique en décembre 1991
L'échec du Comité d'État pour l'état d'urgence finit par emporter ce qui restait de l'Union soviétique.
A sa tête, le Premier ministre Valentin Pavlov, le président du KGB Vladimir Krioutchkov, le ministre de la Défense Dmitri Iazov, le ministre des Affaires intérieures (MVD) Boris Pougo, Oleg Baklanov, membre du comité central du PCUS, Vasily Starodubtsev, président de l'union des paysans. Le vice-président de l'Union soviétique, Guennadi Ianaïev, est nommé président par intérim.
L'action du Comité d'État pour l'état d'urgence sera un échec et profitera au nationaliste corrompu Boris Eltsine, alors président de la fédération de Russie.
Les actions mal planifiées, incohérentes et indécises des membres du Parti communiste, du Komsomol, de l'Armée et du KGB, doublée par la passivité des citoyen.ne.s de l'URSS a entraîné une contre-révolution ouverte qui s'est terminée par l'interdiction de la PCUS et de la destruction de l'Union soviétique en décembre 1991
L'échec du Comité d'État pour l'état d'urgence finit par emporter ce qui restait de l'Union soviétique.