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CE QUE "CANEMPECHEPASNICOLAS"

DEVOILAIT DES LE 2 FEVRIER  2014,

alors que l'homme de la banque Rothschild

n'était encore qu'un collaborateur de l'Elysée

Mais qui est
Emmanuel Macron  ?

Le secrétaire général adjoint de l'Elysée

banquier d'affaire chez Rothchild

inspirateur de

la politique économique de François Hollande

L'Opinion

(...)Costume impeccable, chemise blanche - boutons de manchette, il rayonne. Le nouveau discours présidentiel est une forme de consécration pour celui qui a eu des états d’âme, l’été dernier, lorsque François Hollande réunissait ses plus fidèles ministres pour préparer la rentrée. Emmanuel Macron n’en était pas. Ses ennemis au Palais lui prêtaient volontiers des envies d’ailleurs, de

« retourner dans le privé ».

Ses détracteurs sont nombreux car Emmanuel Macron parle le langage des sociaux-libéraux, pas très en cours dans la gauche française. Il n’a été élevé ni avec le petit livre rouge dans son cartable, ni le livre rose du parfait socialiste dévoué à l’économie régulée.

Très jeune pourtant, il s’engage au PS.

A 36 ans, il en est déjà à sa quatrième vie. Jeune étudiant, il s'est passionné de philosophie jusqu'à devenir l'assistant de Paul Ricœur qui lui fait découvrir Hegel et Machiavel. Enarque, inspecteur des finances, il devient le rapporteur de la commission sur la libéralisation de la croissance française présidée par Jacques Attali.

Banquier d'affaires chez Rothschild, il pilote le rachat par Nestlé de la filiale lait infantile de Pfizer. Un deal de pratiquement 12 milliards de dollars, conclu à la veille du premier tour de l’élection présidentielle pour lequel il touchera un très confortable bonus et qui assoira sa réputation auprès des chefs d'entreprise.

Sa trajectoire s'explique aussi par un soupçon de chance. C'est au sein de la commission Attali qu'il a noué contact avec Peter Brabeck, l'ex-patron de Nestlé qu'il ira voir plusieurs fois en Suisse, permettant à Rothschild, banque où il fut recruté grâce à l'entregent de Jacques Attali, là encore, de prendre la place de Crédit Suisse comme banquier historique de Nestlé.

D'un naturel décontracté, il n'hésite pas, au début du quinquennat, à interpeller François Hollande dans les réunions à l'Elysée en le tutoyant. «Mais enfin François, tu ne peux pas dire ça», lance-t-il au chef de l'Etat. Dans le film

Le Pouvoir, film tourné par Patrick Rotman au cœur de la machinerie élyséenne, on le voit s’adresser à François Hollande sur le ton de la boutade quand il évoque Angela Merkel : « Elle veut danser le tango avec toi et elle pense que c'est elle qui doit mettre la jambe droite. Nous, on pense pareil. »

Pendant la campagne déjà, la légende lui prête cette phrase lâchée lorsqu'il apprend que François Hollande vient de proposer de taxer à hauteur de 75% les salaires supérieurs à 1 million d'euros :

«C'est Cuba, sans le soleil ! »

Capable de viser plusieurs bandes en jouant au billard on lui prête l'idée de taxer l'excédent brut d'exploitation des entreprises en sachant qu'elle provoquerait une réaction hostile des patrons, pour mieux leur faire accepter, en échange du retrait du projet, une hausse de l'impôt sur les sociétés.

(...)

Emmanuel Macron n'a pas été seul à exhorter le chef de l'Etat à changer de cours. Au sein du groupe socialiste de l’Assemblée nationale, depuis longtemps, une quinzaine de députés étaient convaincus que seule une politique de l’offre clairement affirmée permettrait de relancer la machine économique. Pascal Terrasse, député de l’Ardèche, en est le chef de file.

Il rencontre François Hollande à l’automne et lui expose sa façon de voir les choses. « Vous avez raison, réplique le président. Voyez Macron ! ». Emmanuel Macron est celui, explique Pascal Terrasse, « qui a théorisé à gauche cette idée de politique de l'offre ».

Le secrétaire général adjoint de l’Elysée reçoit Pascal Terrasse et une demi-douzaine de parlementaires (Gérard Collomb, Christophe Caresche, Jean-Marie Le Guen notamment) à dîner à l’Elysée, à deux reprises, durant l’automne.

Confortés dans leur choix par ces discussions, les députés se sentent pousser des ailes. Le 27 novembre, Pascal Terrasse appelle ses camarades à sortir des « vieilles lunes dogmatiques » dans un entretien au Figaro.

La ligne Macron est, à l'époque, encore loin de l’avoir emporté au sommet de l’Etat. « Toute la séquence remise à plat de la fiscalité l’a beaucoup inquiété, note un participant à ces dîners : il craignait qu’on ne reparte sur des problématiques fiscales, sans traiter la question de la baisse des charges ».

« Il ne cherche jamais à forcer le président, souligne un autre. Il est au contraire très prudent, il ne prend pas d’initiative sans son aval, il gère sa relation avec Hollande dans la confiance ». 

Quoiqu’il en soit, Emmanuel Macron s'impose, pour le moment du moins. « Son portefeuille s’est épaissi », rigole un de ses proches. L’équivalent d’un ministre ?

Emmanuel Macron évacue avec une formule, citant le philosophe Levinas :

« La confiance, c’est le problème de l’autre. »

 

"canempechepasnicolas"

En clair,la banque Rothchild

a prêté Emmanuel Macron à François Hollande

pour que celui-ci exécute la politique du Capital...

C'est donc clair : ce ne sont pas les citoyens électeurs et leurs représentants élus qui choisissent leurs dirigeants politiques, mais les forces de l'Argent-Roi - le Capital - qui désigne nos gouvernants !

Tag(s) : #Politique française
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