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 Libération sociale, Libération nationale, l'une ne va pas sans l'autre !  par Jean LEVY
 Libération sociale, Libération nationale, l'une ne va pas sans l'autre !  par Jean LEVY
 Libération sociale, Libération nationale, l'une ne va pas sans l'autre !  par Jean LEVY

La France est malade.

Malade de ses millions de Français privés de travail

Malade de la misère qui s’insinue et se propage dans la population

Malade de générations privées d’avenir

Malade d’une vie politique autocratique

Malade d’un pouvoir hégémonique détenu par l’oligarchie financière

Ce sentiment d’abandon social, économique et culturel se répand dans nos villes et nos campagnes.

La question est posée : à quels saints se vouer ?

Plus de 20 millions de citoyens ne veulent plus du choix politique proposé.

Ils rejettent toutes les couleurs de l’arc-en-ciel des partis en lice.

Ils s’abstiennent ou votent BLANC.

Ils constituent ainsi le plus grand parti de France.

Donc, il faut changer de société et vite

Mais quel est donc cette société qui nous impose ses lois ?

Elle porte un nom : le capitalisme, avec son « marché libre », où le plus fort l’emporte sur le faible.

Celui-ci a un but : amasser pour quelques-uns le maximum de profits dans le minimum de temps.

Tout est mis en place, dans notre société, pour favoriser cet objectif :

L’appareil d’Etat, constitutionnel, judiciaire, législatif, leur mode de fonctionnement, concourent à mettre en œuvre la politique au service d’une minorité.

qui détient les moyens de production et d’échange

qui s’est arrogé le monopole de l’information

qui contrôle les forces politiques de nos Assemblées

En clair, une minorité de privilégiés, les nobles de l’argent, détient les pouvoirs essentiels dans cette société au service de leurs intérêts.

Car l’oligarchie financière et industrielle s’est mondialisée.

Le cadre national a de fait, pour elle, éclaté.

Le capital a inventé un nouveau cadre de société, celui plus conforme à ses ambitions, un vaste espace de libre échange sans frontière, et donc sans obstacle à ses transactions financières.

Ainsi est née l’Union européenne.

De gré ou de force, les peuples ont été intégrés dans cette machine infernale avec la complicité des hommes-liges du capital.

Ceux-ci promis le paradis, la paix et le bonheur des hommes dans une Europe unie pour mille ans.

C’est la violence, la misère et la guerre que ceux-ci ont récoltées.

Et la colère aussi.

Mais quand 1% dicte sa Loi à 99% de la population, ça ne peut éternellement durer.

Avec le peuple, on ne sait jamais.

Il pourrait, un jour, prendre les nouvelles bastilles.

D’où la crainte des milliardaires d’un sursaut populaire.

D’où leur volonté de restreindre les libertés, de créer un climat de peur pour éloigner toute velléité de protester, de s’opposer, de s’insurger.

D’où sa loi sur l’état d’urgence

D’où les efforts du Capital de briser l’idée de nation, estimée périmée.

Et de calomnier les libres pensées d’indépendance et de souveraineté.

Mais du côté du peuple, que dire et que penser ?

Il ne suffit pas de geindre, encore moins de s’isoler.

Il ne suffit pas de critiquer à bureau fermé,

Ni de se vouer à de mauvais bergers.

La société dans laquelle nous vivons se délite à vitesse grand V

Il faut donc changer de société.

Ce que nous voulons…

Bâtir une France où le gouvernement des hommes s’efforcerait de répondre aux besoins collectifs et individuels des citoyens.

Que chacun puisse vivre dignement de son travail, dispose d’un logement de qualité, d’une éducation exigeante pour ses enfants, d’un accès à la culture et aux loisirs, d’une liberté totale d’expression, des médias libres de toute pression du pouvoir et de l’argent.

Une telle politique de progrès social continue induit une économie en phase avec le développement de la nature et le bien des hommes.

Il est clair que ces objectifs supposent

La Nation libérée du joug de l’oligarchie

La réappropriation collective des moyens de production et d’échange, ces richesses volées la France et à son peuple.

Et donc la maîtrise de tous les secteurs-clefs de l’économie:

-le secteur bancaire et financier,

-les industries de l’armement, de la chimie et de la sidérurgie, du bâtiment,

-l’ensemble des transports et des moyens de communication

-la libération du joug de l’argent des moyens d’information

Mais cela n’est possible que si la France retrouve sa souveraineté, pleine et entière, que soient brisées les chaines qui la retiennent prisonnière dans l’Union européenne.

Ainsi avec la liberté, l’indépendance et la souveraineté

Avec une République sociale avancée

Le bonheur redeviendra une idée neuve en France et en Europe.

 

rédigé par Jean Lévy

Tag(s) : #Politique française
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