La croissance économique américaine révisée à la baisse avec 1,3% au 2e trimestre

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La croissance économique américaine

révisée à la baisse avec 1,3% au 2e trimestre

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Chen Weihua, le 27-09-2012 

La croissance économique américaine au deuxième trimestre a été révisée à la baisse à 1,3%, a déclaré jeudi le département du Commerce.

Le taux de croissance du Produit intérieur brut (PIB) réel américain a chuté, passant des estimations de 1,7% du mois dernier et était inférieur au taux de croissance de 2% au premier trimestre.

Il était également le plus faible taux de croissance depuis le troisième trimestre de 2011, la preuve de la timide reprise économique américaine.

La décélération du PIB réel au deuxième trimestre reflète principalement les ralentissements des dépenses personnelles de consommation, l'investissement non résidentiel fixe et l'investissement résidentiel fixe, a expliqué le département

Comments

[olivier imbert]

comme il s'agit de pourcentages très faibles de croissance d'un production en masse d'unité de compte annuelle..j'aimerai bine savoir la part du pourcentage en croissance ou en destruction des
services de banques ou assurances, ou de la valeur nominale mesurée du foncier annuel par rapports à la production industrielle et marchandes de biens ou valeurs d'usages-échangées...parce que déjà
les services pour moi ce n'est pas pareil EDF et club med consommateurs(car il y a club med producteurs d'un bien de consommation), pareil maisons de retraites et emploi pour les vieux à l'hosto ou
l'hospice etc...alors là pour cette histoire de crise mondiale dans mon vocabulaire pour comprendre l'objectivité de cette crise ci déclarée et un peu longue-comme déclarée surtout en pays riches
du nord occidental-j'aimerai savoir si il ya une reprise surtout industrielle ou après nettoyage bancaire reprise de l'activité bancaire d'assurance ou de production de services pour les vieilles
personnes ou des choses ainsi...
Parce que la baisse tendancielle du taux de profit peut en effet être très lente et permettre en masse des gains de profit largement suffisant pour vivre en capitaliste longtemps, surtout si on la
pense- avec marx puis hayek- par secteur et branche- et qu'on relativise le luxe et le nécessaire en terme de production de masses( i.pad joysticks ergonomique, skis et chaussures de skis, jouets
et planches à voiles etc...) et qu'on considère, que le profit extra continue à pousser à la révolution des forces productives les capitaines d'industries et non à la bureaucratie comprador et
morbide...