ECRIT EN 2017 !
Toutes les informations citées supra, peuvent être vérifiées,
ce ne sont pas des affabulations, ceux qui chercheront à savoir
et ne se laisseront pas manipuler par les médias découvrirons
cette triste vérité.
MACRON L’HOMME PROVIDENTIEL ?
Tous les médias encensent Macron, un ancien ministre de M. Sarkozy donnait
une longue interview intitulée: « La France va être amoureuse d’Emmanuel
Macron » (sic). Dans les journaux, la radio, la télévision, l’émerveillement est
général. Ce matin, sur radio bfm, un autre ancien ministre, de Chirac cette fois-ci,
le compare à « Bonaparte » ben voyons !. Cette euphorie serait compréhensible
si M. Macron pouvait se targuer d’une décision, d’un choix, d’un acte décisif pour
l’avenir du pays, d’un seul geste d’un homme d’Etat confronté à la réalité.
Aujourd’hui, tel n’est pas le cas. Son succès repose sur une élection étrange, dans
un contexte extravagant, porté à bout de bras par les médias, les financiers et des
circonstances invraisemblables.
Peu de personnes ne se posent la question, comment un homme inconnu il y a
un an ? Créé son parti en avril 2016 et lance sa campagne pour les présidentielles
en novembre 2016 et trouve les financements et parrainages nécessaires.
Miraculeusement, les affaires tombent en cascade sur Fillon ! Et les médias ne parlent
que du FN et de Macron.
La question que l’on doit se poser est : Qui est derrière cette machination grossière ?
Donc nous avons décidé de mener notre enquête et beaucoup d’éléments sont
troublants.
Intéressons-nous à ce jeune Macron.
Jacques Attali, le "découvreur" du jeune Macron
Enarque, il se retrouve à l’Inspection Générale des Finances, il rencontre Peter
Brabeck PDG de chez Nestlé, qui le met en contact avec François Henrot de la
banque Rothschild & Cie mais aussi Serge Weinberg président de Sanofi.
Macron et David Rothschild
Chez Rothschild on lui confie plusieurs dossiers sensibles qu’il résout avec succès,
notamment la recapitalisation du journal le Monde. En 2012, il dirige l'une des plus
grosses négociations de l'année, le rachat par Nestlé de la filiale « laits pour bébé »
de Pfizer. Durant le passage chez Rothschild & Cie il gagnera plus de 32 millions
d’Euros et non 2.8 millions comme il l’a déclaré.
Les financiers français et européens commencent à s’intéresser à ce jeunehomme prometteur, et y voient des intérêts. Avec l’aide de George Sarre etJean-Pierre Jouyet, il devient secrétaire général adjoint de l'Élysée. Les financiersvoulant contrer la politique de Hollande désirant s’attaquer à la finance et auxgrandes entreprises. Il lui confie la tâche de convaincre Hollande d’aller vers unprogramme libéral en matière économique.Macron est remarqué par Henri de Castrie président d’AXA mais aussi président du
Groupe Bilderberg, aussi appelé conférence de Bilderberg ou Club Bilderberg, un
rassemblement annuel de plus d’une centaine de membres essentiellement
américains et européens, et dont la plupart sont des personnalités de la diplomatie,
des affaires, de la politique et des médias.
Ils voient en lui l’opportunité de fléchir la politique économique et industrielle
française et de contrer les syndicats, pour aller sur une politique libérale à
l’anglo-saxonne.
Cependant Macron ne parvient pas à son poste à faire fléchir Hollande et son
gouvernement.
Lors de la réunion du Groupe Bidelberg à Copenhague du 29 mai au 1 er juin 2014,
la réunion compte de nombreux banquiers notamment de la Deutsche Bank,
Christine Lagarde, Benoit Coeuré ancien de la BCE et Macron.
De Castrie et plusieurs banquiers se voient en présence de Macron.
Il est donc décidé de faire pression sur Manuel Valls pour que Mr Macron
soit ministre de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique dans le gouvernement
Valls II en remplacement d'Arnaud Montebourg trop instable. Jean-Pierre Jouyet
est contacté et influence François Hollande.
Macron est donc nommé Ministre le 26 août 2014.
De Castrie voit Valls et lui suggère de faire un geste vis-à-vis du patronat, de
redorer son blason, qu’il en serait récompensé. Le 27 août Valls participe à
l’université d’été du MEDEF il a prononcé un discours salué par une longue
"standing ovation".
Les financiers ont réussi leur coup. Leur prodige est à leurs bottes, il n’y a plus
qu’à manipuler la marionnette.
Le patronat est satisfait mais le trouve encore trop timide dans ses réformes, ils le
poussent à faire la loi « Macron 2 ». Mais Valls s’y oppose et donne le projet de
réforme à Myriam El Khomri.
Les financiers sont furieux contre Valls et décident sa perte, Valls les a trahi.
Cependant Macron réussi à inclure dans la loi : la réécriture du licenciement
économique et le plafonnement des indemnités prud'homales. Valls rétrograde
Macron dans l'ordre protocolaire du gouvernement à l'occasion du remaniement
réduit de février 2016.
Le 21 mars 2016 De Castrie, Gattaz (MEDEF), Mario Draghi (BCE), John Cryan DB,
des financiers et les patrons des groupes de presse, Bolloré, Drahi, Bergé se
réunissent à Francfort, et décident d’épauler Macron pour la création d’un parti
dévoué à leur cause. Macron sera épaulé et financé pour créer un parti politique.
LIRE
http://bernard-gensane.over-blog.com/2017/11/election-de-macron-le-saint-esprit-ou-
La manipulation est simple la presse écrite doit lui consacrer de nombreuses unes
notamment la presse féminine et la presse destinée aux jeunes. La télévision
doit le présenter comme le gendre idéal. Les patrons de presse créaient des groupes
de travail uniquement dédiés à l’image et à la communication Macron. Bolloré a eu
cette réflexion : « Puisque la mode est aux couguars et aux MILF mettons sa
cougar à la une, c’est tendance, les jeunes vont kiffer ! ».
Fin avril 2016 Edouard Philippe maire du Havre est invité par De Castrie et Bolloré, à Paris, ces derniers l’invitent à soutenir Macron et l’invite à la réunion Bidelberg qui se tient du 10 au 12 juin 2016 à Dresde.
Une réunion se tient avec Christine Lagarde, Baroso et d’autres financiers.
A l’issue se tient une autre réunion à Berlin où il est décidé de faire de Macron
le Président de La France sont présent des financiers, le directeur de la BCE,
Drahi, Bolloré, Bergé et surprise : Mr Louvel Président du Conseil supérieur de la
Magistrature. Ils sont rejoints le temps d’un diner par Madame Merkel.
Mais aussi il faut décrédibilisé Hollande, un débat aura lieu le 14 avril 2016, les
patrons de presse font pression sur Michel Field pour que ce soit Léa Salamé
journaliste aux dents longues, multimillionnaire, le bobo moraliste qui aime le fric !
Le 14 avril 2016 elle fait son effet, face à François Hollande.
En novembre les primaires de droite sont ouvertes, Fillon gagne, jugé trop frileux
dans son programme par les financiers, ils décident de l’éliminer.
L’affaire Fillon est lancée, bien d’autres élus de droite et de gauche font travailler
leur conjoints où enfants, mais Fillon doit être éliminé. Des rendez-vous sont pris par
des informateurs dépêchés par les grands groupes de presse avec des
journalistes du Canard Enchaînés et de Médiapart, journaux qui ont vu leurs
subventions augmentées en 2017 comme par hasard. Déchainement des médias
sur Fillon, les journalistes bien obéissants et soi-disant indépendants se déchainent.
Mais surtout ils prennent soin de ne pas dénoncer les autres politiques qui
commettent les mêmes délits.
L’homme à abattre c’est Fillon.
De l’autre côté, ordre est donné d’axer sur le FN, sachant que lors d’une confrontation Macron Le Pen, Macron serait élu. La Machine médiatique est en route, les magistrats sont dans la course, peu importe si cette campagne est nauséabonde, mais Macron doit sortir vainqueur coute que coute.
Bolloré lui dit : « Le Français veut de l’information instantané, du scoop,
il ne réfléchit pas, du foot, des émissions débiles, du cul, de la bière et
il est heureux, il faut leur servir ce qu’ils veulent ! »
Réunion le 11 avril 2017 avec De Castrie, Drahi, Jouyet, Sarre et d’autres
personnages influents avant le 1er tour des élections, la ligne médiatique est
organisée, la presse est dévouée à Macron, mais Mélanchon inquiète, ainsi que le
manque de confiance des français envers les politiques.
Le 23 avril 2017 ils sont rassurés, Macron est en tête avec 24%.
Le 23 avril 2017, Drahi félicite Macron et lui dit : «Tu es président les français
n’auront jamais les couilles de voter Le Pen et les autres tordus vont venir te lécher
les fesses et voteront pour toi ! » Cela se finit à la Rotonde avec effectivement des
gens du show-biz et autres tordus qui viennent lui lécher les fesses.
Macron savait qu’il était président. Le 24 avril la bourse prend 7 points, les places
financières sont aux anges !
Ces élections présidentielles furent qu’à un seul tour, magnifiquement orchestrées
par, les médias, la finance et le CAC 40, les français n’y ont vu que du feu !
Le 7 mai 2017, Macron est élu et nos patrons de presse et autres vont mettre leur
terrible plan « en marche ». Le spectacle du Louvre fut un délire narcissique dont
l’analyse révèle bien des intentions que je qualifierais de « déviantes ».
Loin des problèmes et attentes des Français.
Faire élire 50% à l’Assemblée Nationale de personnes qui n’ont jamais touché à la
politique où eut un mandat électoral.
Cette manœuvre organisée depuis Paris dans le cadre d’un mystérieux processus de
sélection afin d’achever d’affaiblir le pouvoir législatif, le cœur de la démocratie,
en mettant en place une sorte d’aréopage de personnes désignées d’en haut par le
nouveau pouvoir central qui seront à la botte du régime. Et personne ne se pose
la question du financement de toutes ces investitures.
« Il faut que tout change pour que rien ne change ».
Le changement est devenu le deus ex machina de la politique. Il a suffi de le
promettre pour avoir pu conquérir le pouvoir.
Le peuple par ces élections a perdu sa souveraineté, maintenant le peuple élit la
personne que les financiers et les patrons de presse ont choisie.
Heureusement, 16 millions de personnes se sont abstenus ou ont voté blanc,
signe qu’il y a des français qui font encore preuve d’intelligence, et ne se laissent pas
manipuler.
Publié par atoilhonneur corto
Illustrations de "Ca n'empêche pas Nicolas"